Qui est la nymphe Daphné présente dans la mythologie Grecque ?
Nymphe Daphné

Qui est la nymphe Daphné présente dans la mythologie Grecque ?

DAPHNE était une naïade-nymphe de la rivière Ladon d’Arkadia ou du Peneios (Peneus) en Thessalie. Elle était aimée du dieu Apollon qui l’a poursuivie jusqu’à ce qu’elle s’épuise et ait crié à Gaia (Gaea) pour l’aider. La déesse s’est transformée en laurier qu’Apollon a ensuite adopté comme sa plante sacrée.

Lors d’un festival à Delphoi (Delphi), une branche d’un laurier sacré a été apportée au sanctuaire de la vallée de Thessalie de Tempe. Ce rite suggérerait que la version thessalienne du mythe de Daphné était la plus ancienne.

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Les Delphiens avaient également un mythe étroitement lié à un certain Daphnis qu’ils décrivent comme la prophétesse Oriade-nymphe de Gaïa au sanctuaire avant qu’Apollon ne prenne le contrôle.

ENCYCLOPÉDIE DE LA NYMPHE DAPHNÉ

DAPHNÉ (Nymphe), une belle jeune fille qui est mêlée à diverses traditions sur Apollon. Selon Pausanias, elle était une Orée et une ancienne prêtresse de l’oracle de Delphes auquel elle avait été nommée par Diodore la décrit comme la fille de Tirésias, mieux connue sous le nom de Manto. Elle fut faite prisonnière lors de la guerre des Epigones et offerte en cadeau à Apollon. Une troisième

Daphné est appelée fille du dieu-fleuve Ladon en Arcadie par Gaïa, ou du dieu-fleuve Peneius en Thessalie, ou enfin d’Amyclas. Elle était extrêmement belle et était aimée et poursuivie par Apollon. Sur le point d’être rattrapée par lui, elle pria sa mère, Gaïa, qui ouvrit la terre et la reçut, et pour consoler Apollon elle créa le laurier toujours vert (daphnê), dont les branches Apollon s’est fait une couronne. Une autre histoire raconte que Leucippe, le fils d’Oenomaüs, roi de Pise, était amoureux de Daphné et s’approcha d’elle sous le déguisement d’une jeune fille et chassa ainsi avec elle. Mais la jalousie d’Apollon a causé sa découverte pendant le bain, et il a été tué par les nymphes. Selon Ovide Daphné dans son vol d’Apollon s’est métamorphosée en un laurier.

CITATIONS DE LITTÉRATURE CLASSIQUE

Nymphe Daphné Amour
Nymphe Daphné poursuivi par le dieu Apollon

C’est ainsi que se raconte l’histoire de Daphné, la fille d’Amyklas (Amyclas). Elle n’avait jamais l’habitude de descendre dans la ville, ni de fréquenter les autres jeunes filles ; mais elle rassemblait une grande meute de chiens et chassait, soit en Laconie (Laconie), soit parfois dans les montagnes plus éloignées du Péloponnèse. Pour cette raison, elle était très chère à Artémis, qui lui a fait le don de tirer droit. Une fois, elle traversait le pays d’Elis, et là Leukippe (Leucippe), le fils d’Oinomaus (Oenomaus), est tombé amoureux d’elle ; il résolut de ne la courtiser d’aucune manière, mais prit des vêtements de femme et, sous l’apparence d’une jeune fille, se joignit à sa chasse. Et il se trouva qu’elle devint très vite très attachée à lui, et qu’elle ne le laissa pas non plus quitter son côté, l’embrassant et s’accrochant à lui à tout moment. Mais Apollon était aussi passionné d’amour pour la jeune fille, et c’était avec des sentiments de colère et de jalousie qu’il voyait Leukippos toujours avec elle ; il se mit donc dans l’esprit de visiter un ruisseau avec ses servantes, et de s’y baigner. A leur arrivée là-bas, ils ont tous commencé à se déshabiller ; et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle et c’était avec des sentiments de colère et de jalousie qu’il voyait Leukippe toujours avec elle ; il se mit donc dans l’esprit de visiter un ruisseau avec ses servantes, et de s’y baigner. A leur arrivée là-bas, ils ont tous commencé à se déshabiller ; et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle et c’était avec des sentiments de colère et de jalousie qu’il voyait Leukippe toujours avec elle ; il se mit donc dans l’esprit de visiter un ruisseau avec ses servantes, et de s’y baigner. A leur arrivée là-bas, ils ont tous commencé à se déshabiller ; et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle il se mit donc dans l’esprit de visiter un ruisseau avec ses servantes, et de s’y baigner. A leur arrivée là-bas, ils ont tous commencé à se déshabiller ; et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle il se mit donc dans l’esprit de visiter un ruisseau avec ses servantes, et de s’y baigner. A leur arrivée là-bas, ils ont tous commencé à se déshabiller ; et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle et quand ils virent que Leukippe ne voulait pas suivre leur exemple, ils lui arrachèrent ses vêtements ; mais quand ils prirent ainsi conscience de la tromperie qu’il avait pratiquée et du complot qu’il avait conçu contre eux, ils lui enfoncèrent tous leurs lances dans le corps. Lui, par la volonté des dieux, a disparu ; mais Daphné, voyant Apollon s’avancer sur elle, prit vigoureusement la fuite ; puis, alors qu’il la poursuivait, elle a imploré Zeus qu’elle puisse être éloignée de la vue des mortels, et elle est censée être devenue le laurier qui s’appelle Daphné après elle.”

“Des poèmes élégiaques de Diodoros d’Elaia [date inconnue] et le vingt-cinquième livre de Phylarkhos (Phylarchus) [historien grec C3rd BC]
Nymphe Daphné et Apollon
Nymphe Daphné & Apollon

L’amour de Daphné s’ajoute à l’histoire ; qu’Apollon est devenu jaloux de Leukippos à cause de son succès dans son amour. Immédiatement, Daphné et les autres jeunes filles conçurent une envie de nager dans le Ladon, et déshabillèrent Leukippos malgré sa réticence. Puis, voyant qu’il n’était pas une servante, ils le tuèrent à coups de javelots et de poignards.”

Pausanias, Description de la Grèce 8. 20. 2 (trans. Jones) (récit de voyage grec C2e AD)

« La raison pour laquelle une couronne de laurier est le prix d’une victoire pythienne est à mon avis simplement et uniquement parce que la tradition dominante veut qu’Apollon soit tombé amoureux de la fille de Ladon [c’est-à-dire Daphné]. “

Pausanias, Description de la Grèce 10. 7. 8

“[À Antiokhos (Antioche), l’Asie Mineure est] le temple d’Apollon Daphnaios (Daphnaeus, Of the Laurel), à auquel les Assyriens attachent la légende d’Arkadia (Arcadie). Car ils disent que Nymphe Daphné, la fille de Ladon, y a subi sa métamorphose, et ils y ont une rivière qui coule, le Ladon, et un laurier est adoré par eux qu’ils disent a été substituée à la jeune fille.”

Philostrate, Vie d’Apollonios de Tyane 1. 16 (trans. Conybeare) (biographie grecque C1st to C2nd AD)

“Quand Apollo poursuivait la vierge Daphné, fille du fleuve Peneus, elle demanda protection à Terra (Terre) [Gaia], qui la reçut, et la changea en laurier. Apollon en brisa une branche et la plaça sur sa tête.

Pseudo-Hyginus, Fabulae 203 (trans. Grant) (mythographe romain C2e AD)

“Daphne Peneia (fille de Peneus) était le premier amour du grand Phoebus [Apollon], un amour non pas allumé par hasard sans le vouloir, mais par la colère rancunière de Cupido (Love’s) [Eros’]. Delius [Apollon], fier de la victoire a vu Cupido [Eros] tire l’arc tendu de son arc et dit : ” Espiègle garçon, que sont pour toi les bras d’un homme courageux ? Cet équipement convient mieux à mes épaules. Mon objectif est sûr ; je blesse mes ennemis, je blesse les bêtes sauvages ; mes innombrables flèches tué mais maintenant le python gonflé, dont les vastes enroulements à travers tant d’acres répandent leur fléau. Vous et vos amours ! Vous avez votre torche pour les allumer Laisse cela te contenter ; ne réclame jamais ma renommée ! Et le fils de Vénus [Aphrodite] [Eros] répondit : ” Ton arc, Phœbus, peut tout vaincre, mais le mien te vaincra. Comme toute créature cède à la puissance divine, de même ta gloire cèdera à la mienne. “

Puis, s’envolant dans les airs de sa manière avide, il se tint sur le pic ombragé du Parnasse, et de l’armurerie chargée de son carquois, il tira deux flèches de puissance opposée, une flèche qui réveille l’amour et une qui le met en déroute. Le premier brille d’une pointe d’or perçante ; l’autre, l’abattage et l’émoussage, est renversé avec du plomb. Celui-ci, il l’a logé dans le cœur de Nympha Peneis [Nymphe Daphné]; le premier qu’il a tiré pour transpercer Apollon jusqu’à la moelle. Elle vole le nom de l’amour, se délectant des profondeurs de la forêt et des trophées de la chasse, une Nymphe pour rivaliser avec la chasseresse vierge du ciel Phoebe [Artémis]; un ruban négligent tenait ses cheveux égarés. Beaucoup la courtiseraient ; elle, les rejetant tous, sans homme, à l’écart, parcourait les bois vierges sans se soucier de ce que l’amour, ce que les rites de mariage pouvaient signifier. Souvent son père [le dieu-fleuve Peneios (Peneus)] disait : « Ma fille chérie, c’est mon devoir d’avoir un gendre. Souvent son père disait : « C’est mon dû, enfant de mon cœur, d’avoir des petits-enfants.

Elle haïssait comme un crime le lien du mariage et, des rougeurs pudiques teintant ses belles joues, l’embrassa de ses bras câlins et lui répondit : « Mon cher, cher père, accorde-moi de jouir éternellement de la virginité ; cette Diana [Artemis] a été accordée par son père.’

Il, en effet, a cédé, mais Daphné, pourquoi, elle, la beauté contrecarre son désir, sa grâce nie sa prière. Phoebus l’a vue, l’a aimée, l’a voulue, elle pour sa fiancée, et, voulant, a espéré, trompée par ses propres oracles ; et, comme le chaume s’enflamme dans les champs de récolte ou comme une haie s’enflamme lorsqu’un voyageur tardif risque sa torche trop près ou, à l’aube, jette ses braises fumantes, ainsi le feu de l’amour a consumé le dieu, son cœur entier était en feu, et haut les espoirs qui ont alimenté sa passion infructueuse. Il voit le désordre lâche de ses cheveux et se demande si c’était soigné et élégant ! Il voit ses yeux briller comme des étoiles, ses lèvres – mais il ne suffit pas de regarder ! – ses doigts, ses mains, ses poignets, ses bras à moitié nus – comme c’est exquis ! Et bien sûr, ses charmes cachés sont les meilleurs ! Mais elle vole plus vite que le vent léger et ne s’arrête pas pour l’entendre crier : « Reste, douce Nympha Peneis (Peneid Nymph) ! Ah, reste ! Je ne suis pas un ennemi à craindre. Les agneaux fuient les loups et les biches fuient les lions, et les colombes voltigeantes fuient les aigles ; chaque créature fuit ses ennemis. Mais l’amour stimule ma poursuite. Oh, vous tomberez et les ronces effleureront vos jambes, pour la honte !, et moi, hélas, la cause de votre détresse ! Le terrain sur lequel vous courez est accidenté. Tu cours trop vite ! Vérifiez votre vol rapide, et je ne poursuis pas si vite. Pourtant, demandez qui vous aime. Je ne suis pas un forestier grossier, pas un berger négligé gardant ses troupeaux et ses troupeaux. Tu ne sais pas, tu voles, folle, parce que tu ne sais pas. Je suis le seigneur de Delphes ; Tenedos, Patara et Claros sont mes royaumes. Je suis le fils de Juppiter [Zeus]. Par moi, les choses futures, passées et présentes sont révélées ; Je façonne l’harmonie des chansons et des cordes. Sûr mes flèches, mais une plus sûre m’a encore touché au cœur, mon cœur insouciant. L’art de la médecine que j’ai donné au monde et tous les hommes m’appellent « Guérisseur » ; Je possède le pouvoir de chaque herbe. Hélas! Cet amour qu’aucune herbe ne peut guérir, ces compétences qui aident toute l’humanité ne parviennent pas maintenant à aider leur seigneur !’

Il avait essayé d’en dire plus, mais elle, effrayée, s’enfuit et le laissa inachevé, lui et ses paroles. Enchanteur toujours elle a regardé–ses membres minces nus dans la brise, sa robe de flottement soufflée en arrière, ses cheveux derrière elle ruisselant pendant qu’elle courait ; et le vol rehaussait sa grâce. Mais le jeune dieu ne pouvait plus supporter de gaspiller ses flatteries. Et (l’amour le conduisait) a poursuivi sa poursuite. Et comme un beagle voit à travers le chaume un lièvre et court pour tuer et elle pour la vie, il l’a presque ; maintenant, oui maintenant, il est sûr qu’elle est à lui ; son museau tendu gratte ses talons ; et elle pense à moitié qu’elle est attrapée et, comme il mord, s’enfuit; ses dents se touchent, mais elle est partie. Ainsi coururent le dieu et la fille, il accéléra par espoir et elle par peur. Mais lui, porté sur les ailes de l’amour, courut plus vite, ne lui laissa aucun répit, chaude sur ses talons volants et respirant près de ses épaules et de ses cheveux tombants. Sa force avait disparu ; le travail de sa fuite l’a vaincue, et son visage était d’une pâleur mortelle. Et puis elle était à la rivière, rapide Peneus, et a appelé : « Au secours, père, au secours ! Si un pouvoir mystique habite vos eaux, changez-moi et détruisez ma beauté funeste qui a trop bien plu.

A peine avait-elle fait sa prière, qu’à travers ses membres se répandit une langueur traînante, sa tendre poitrine était enveloppée d’une fine écorce lisse, ses bras minces se changeaient en branches et ses cheveux en feuilles ; ses pieds mais maintenant si rapides étaient ancrés dans des racines raides et engourdies, son visage et était devenu la couronne d’un arbre vert ; tout ce qui restait de la nymphe Daphné était sa beauté resplendissante. Et pourtant Phoebus l’aimait ; sur le tronc il posa sa main et sentit sous l’écorce son cœur qui battait encore, tenait dans son étreinte ses branches, déposait ses baisers sur le bois ; pourtant de ses baisers le bois recula. « Ma fiancée, dit-il, puisque tu ne pourras jamais être, du moins, un doux laurier, tu seras mon arbre. Mon leurre, mes boucles, mon carquois tu vas tisser. . . . Ainsi parla le dieu ; le laurier en signe d’assentiment inclina ses branches nouvellement faites et se pencha, ou sembla se pencher, sa tête,

Ovide, Métamorphoses 1. 452 sqq (trad. Melville) (Épopée romaine C1er BC à C1er AD)
Nymphe Daphné Naiade
Nymphe Daphné se métamorphosant en Laurier

“Prenez la lyre et le carquois – vous serez Apollon manifeste… Phoebus [Apollon] aimait la nymphe Daphné.”

Ovide, Heroides 15. 23 ff (trans. Showerman) (Poésie romaine C1er BC au C1er AD)

“Ladon, presque, ô Pythien [Apollon], le père de ta fiancée [nymphe Daphné].”

Statius, Thebaid 4. 289 sqq (trad. Mozley) (Épopée romaine C1st AD)

“Ah, combien de chansons ont chanté Phoibos (Phoebus) [Apollon]! Alors que Daphné l’entendait, mais n’éprouvait aucun plaisir au cœur.”

Nonnus, Dionysiaca 15. 310 ff (trad. Rouse) (épopée grecque C5e ap. J.-C.)

« [La nymphe Nikaia (Nicaea), qui a été violée par Dionysos dans son sommeil, accuse les Nymphes de ne pas l’avoir prévenue :] ‘Hélas pour vierge, volée par ce vagabond Bakkhos (Bacchus) ! Hamadryas Nymphai (nymphes d’Hamadryad), que je blâmerai pour Hypnos (Sommeil), Eros (Amour), la ruse et le vin, sont les voleurs de mon état de jeune fille ! . . . Pourquoi la nymphe Daphné (la Laurier) n’a-t-elle pas parlé – ” Jeune fille, méfiez-vous, ne buvez pas l’eau trompeuse !”?'”

Nonnus, Dionysiaca 16. 356 sqq

“Elle raconta comment les genoux de cette Nymphe Daphné non mariée s’enfuirent rapidement dans la brise, comment elle courut une fois de Phoibos (Phoebus) [Apollon] rapide comme le vent du nord, comment elle planta sa vierge pied par le flot d’une rivière sinueuse, par le courant rapide de l’Oronte, quand la Terre (Gaïa) s’ouvrit à côté de la large embouchure d’un marais et reçut la fille traquée dans son sein compatissant… le dieu n’a jamais attrapé la nymphe Daphné quand elle était poursuivi, Apollon ne l’a jamais ravie… et il a toujours reproché à Gaïa (la Terre) d’avoir avalé la fille avant qu’elle ne connaisse le mariage.”

Nonnus, Dionysiaca 33. 210 sqq
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“Chantez d’abord Daphné, chantez le cours erratique d’Ekho (Echo), et la note de réponse de la déesse qui ne manque jamais de parler, car ces deux-là méprisaient le désir des dieux.”

Nonnus, Dionysiaca 42. 255 sqq

“Comment la fille de Ladon [nymphe Daphné], ce fleuve célèbre, détesta les œuvres du mariage et la Nymphe devint un arbre aux murmures inspirés, elle s’échappa du lit de Phoibos (Phoebus) [Apollon] mais elle a couronné ses cheveux de grappes prophétiques.”

Nonnus, Dionysiaca 42. 386 sqq

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